bleumarie

mardi 28 juillet 2009

L'été, la plage ... Découvrir, se découvrir ... S'aimer, se haïr. Plage en été, lieu de tous les dangers !

Soir de Septembre de Maurice Denis ~ 1911
Enfant au bonnet rouge de Maurice Denis ~ 1909


Plage du Pouldu de Maurice Denis


Ah ! La plage ! Fantasme - pour la plupart - de toute une année pour quinze jours de vacances en été !
Savez-vous que les fantasmes ne doivent pas être réalisés car sinon, l'imagination doit aller plus loin et plus fort pour trouver un autre fantasme ?
Bon, vous voilà averti(e)s !
Et pourtant, du côté de Perpignan, la foule est dense sur chaque mètre carré de sable... La plage est bien le seul endroit où se côtoient quasiment nus un grand nombre de personnes qui n'ont rien en commun, hormis le lieu de leurs vacances !
Je ne parle pas des gens du cru (dont je fais partie) qui regardent d'un oeil goguenard cette foultitude de personnes si différentes les unes des autres et qui forcément, à un moment ou à un autre, se trouveront incommodés par leur voisin de plage (plus rarement par leur voisine, surtout si elle est blonde à gros seins).

The Bathers de Paul Fischer

A Morning Dip de Paul Fischer

Sunbathing In The Dunes de Paul Fischer

Bref, la plage peut vite tourner à la lutte de territoire, telle que l'on probablement connue nos ancêtres de la préhistoire.
Quand on a des enfants en bas âge, on ne comprend pas comment on peut s'agacer d'entendre les charmants cris de joie des petits et de leurs parents affolés, à la vue de la grosse méduse qui flotte tranquillement dans le seau en plastique, objet obligatoire pour tout enfant normalement constitué. Les enfants sont contents de leur prise, mais les parents font un tapage de tous les diables demandant instamment à leur progéniture d'aller rejeter à la mer la chose gluante!
Donc, la sieste que vous aviez entamée cinq minutes auparavant se trouve fort injustement interrompue ! Et vous n'osez pas retourner à l'eau de peur que la grosse masse gélatineuse se trouve encore dans les parages...



Illustrations de Myriam Feuilloley


Nude on the Beach de Lord Frederick Leighton

La plage est aussi l'endroit où, peut-être pour la seule fois de l'année, on expose aux regards son intimité. De peur de rencontrer votre concierge - ou pire encore, votre inspecteur des impôts - vêtus d'un seul caleçon de bain, voir même d'un slip de bain, ce qui vous traumatiserait encore davantage, vous partez donc très loin de chez vous, de préférence près de chez moi (mais si j'aime les touristes, quelle drôle d'idée !) et vous vous trouvez, heureusement sans le savoir, auprès d'autres concierges, d'autres inspecteurs des impôts et des représentants d'un peu toutes les professions!

La plage expose les corps, mais aussi les comportements. Les mères de famille hystériques, comme je l'ai écrit un peu plus haut, mais aussi tous les intolérants, les voyeurs, les exhibitionnistes, les boulangers, les secrétaires, les plombiers, bref tout le monde !!!!
Mais vous vous en fichez, vu que vous ne les connaissez pas. Enfin, presque, car le monde est petit et le Sud de la France encore davantage !
Si vous êtes venu(e)s à la plage seul(e), parce que vos enfants sont grands et vont de leur côté, ou que vous vous accordez une parenthèse de vacances en solitaire et - si possible - en toute sérénité, vous risquez fort de très rapidement vous lasser des cris exaspérants des enfants qui viennent de trouver une vieille capote (croyant que c'était une méduse) et qui la ramène fièrement, dans leur seau en plastique, à leurs parents qui deviennent hystériques ! Ces derniers étant horrifiés pratiquement autant qu'avec la masse gélatineuse de tout à l'heure, et peinant même à faire la différence entre les deux. Quoiqu'il en soit, leur instinct de parents se réveille et se rend compte qu'il n'est pas plus sain de jouer avec l'une qu'avec l'autre !

Vous allez donc pousser des soupirs contrariés, agacés, vous retourner plusieurs fois sur votre serviette, en espérant que les parents concernés, ainsi que leur charmante progéniture, réalisent à quel point ils vous dérangent !
Hors, tout vacancier contrarié sur la plage peut rapidement se laisser déborder par son animalité qui prend le dessus parmi cette horde de touristes à demi-nus, et sauter à la gorge d'un importun. S'ils possèdent un parasol, réfléchissez à deux fois avant de soupirer car chaque année, on déplore des accidents avec des parasols ayant traversés de part en part un voisin de serviette ! On dit que c'est la tramontane, mais je sais que ce n'est pas vrai ! Pour preuve, j'ai moi même été prise de folie passagère en embrochant joyeusement un ch'ti se plaignant que Perpignan n'était pas le "vrai Sud" et que c'était un pays de merde où il y avait tout le temps du vent.
Je ne peux répéter ici ce que je lui ai dit avant de l'embrocher, car cela serait immédiatement censuré...


Oui, la plage est bien l'endroit où les plus bas instincts de l'homme peuvent se révéler au grand jour ! Je me souviens être allée à la plage, il y a quatre ou cinq ans. Je me baignais gentiment, il n'y avait pas grand monde. La plus grande partie de nos chers touristes avaient rejoint le grand nord, c'est-à-dire un peu plus haut que Narbonne (vue de Perpignan). Je surveillais d'un oeil attentif mon fils quand un monsieur, au demeurant fort sympathique, s'approche de moi. J'étais debout avec l'eau jusqu'aux épaules. Il commence à discuter en parlant des enfants. Forcément j'étais intéressée puisque concernée, et lui n'avait pas eu à se fouler pour trouver un sujet de conversation, puisque mon fils nageait à quelques mètres. On commence donc à discuter et au bout d'un moment, je trouvais que ce Monsieur était un peu "collant". J'essayais donc d'attirer l'attention de mon fils pour qu'il ne me laisse surtout pas seule et qu'il intervienne d'une façon ou d'une autre pour me tirer de ce mauvais pas !
Hélas, mon grand a compris tout le contraire ! Il a cru que j'étais en galante compagnie (tu parles !) et que je voulais qu'il s'éloigne un peu (après tout j'étais une jeune divorcée pleine de charme et d'enthousiasme pour faire de nouvelles rencontres). J'ai donc vu avec horreur s'éloigner mon seul et unique moyen de larguer le boulet... A peine cinq minutes s'étaient écoulées que l'individu me mettait la main aux fesses de la même façon que cela m'était arrivé dans le métro parisien un jour de grève ! J'étais tellement surprise que je n'ai pas eu l'idée de lui mettre une baffe. Je l'ai copieusement assaisonné de noms d'oiseaux et il s'est tranquillement dirigé vers la plage, sans se laisser désarçonner.

Illustration de Myriam Feuilloley

Ah oui, il s'en passe de belles l'été sur nos plages ! Nous sommes dénudés, et certain(e)s développent une lubricité qui dépasse l'entendement.
Drôle de microcosme, un lieu très spécial où des gens que tout oppose se retrouvent collés serrés. Et pourtant, comme les animaux, nous avons besoin de nous créer un espace vital quand nous arrivons sur la plage. C'est toujours très amusant de regarder un petit groupe familial (ou non) s'installer et prendre "possession" des lieux. On étend des serviettes, on plante un parasol comme Amstrong a planté le drapeau sur la lune. On établit un périmètre de sécurité avec quelques serviettes ou objets. Glacière par ici, panier par là, un fauteuil ici et un autre là-bas. Et cela devient pour quelques heures l'espace privé d'une poignée de personnes...
Enfin je dis "on" mais je fais la même chose ! Je viens seule maintenant que mes enfants sont grands, mais j'avoue - à ma grande honte - installer mon "campement" comme si nous étions dix ! Une serviette de plage très très grande d'un côté, un fauteuil de plage de l'autre côté ... une tong à droite, une tong à gauche et une demi-douzaine d'accessoires de plage divers et variés.

Quel drame quand un garnement traverse l'espace vital (le mien par exemple !) d'un groupe sur SON territoire ! Surtout quand il éclabousse au passage, envoie du sable et mets le pied sur une serviette... On se sent vraiment mal, viscéralement atteint !

Oui, c'est une certitude, l'homme est un animal. Il aime marquer son territoire, quitte à ce que ça se termine (sur la plage) en guerre des tranchées ! Souvent les insultes fusent ... Je me souviens du propriétaire d'un gentil toutou qui avait pissé (le toutou, pas le maître) sur le sac à dos de mon fils et qui est resté complètement ahuri devant la crudité de mon langage ! Attendez... non seulement on s'attaquait à MON territoire, mais pire encore à MON fils (oui, bon, à son sac si vous préférez, mais quand même !!!).

Les enfants sont souvent les sujets volontaires ou - plus rarement - involontaires des disputes des adultes sur les plages. Car ce grand espace de liberté semble tellement fait pour amuser les enfants qu'on en oublierait presque le plaisir des adultes de se trouver dans ce lieu de sérénité et de paix (quand il n'y a pas les enfants)... Même lieu mais deux façons de voir les choses. D'où dérapages sans fin entre adultes qui défendent leur progéniture envers et contre tout.

Mais bon, si chacun trouve son petit bout de Paradis, la plage peut se révéler un lieu vraiment formidable.


Et si vraiment vous n'en pouvez plus d'entendre hurler la radio de votre voisin de serviette, ou de recevoir du sable à chaque fois que le gamin de la famille d'à côté passe en courant, faites comme moi, courez dans l'eau ! Il y a de la place pour tous et même davantage ! Allongez-vous sur le dos pour faire la planche, les oreilles dans l'eau et c'est miraculeux ! Vous avez le ciel immense et bleu en face de vous, vous n'entendez plus qu'un bourdonnement cotonneux, et le soleil caresse votre corps ! Et ça, c'est inestimable !
Bonnes vacances !

Texte de Marie B.

Deux Femmes courant sur la plage de Pablo Picasso

On the Beach de Vaggelis Fragiadakis

From the Deck de Laura McMillan

Les Premiers pas dit aussi Famille au bord de la mer Maurice Denis ~ 1911

























Illustrations de Myriam Feuilloley

Enfants sur le sable de Stacey

Children Playing On The Beach de Mary Cassat

A day at the beach de Jeffrey T. Larson

Girl on the Beach d'Edvard Munch


24 commentaires:

  1. Salut... Hi hi hi... La place, c'est fait pour Crapaud-charmant... Y'a des princesses en p'tite tenue dans tous les coins ...lol... Hi hi hi... Pourtant, l'OGRE lui fuit, rien que d'y penser... Cette foule compacte... Le dessin humoristique résume quelque peu mes pensées... Où sont les coquillages ? Alors pour moi, si plage, un jour, il y a ce sera HORS SAISON... lol... Bises baveuses... PS: Allez, je tente un lien et un code. On verra bien... (-; Flûte le copier-coller ne s'inscrit toujours pas !!!!

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  2. Alors là je dois dire un régale cet article : un trésor d'Humour (j'en sourit encore en écrivant ceci) C'est du vécu, j'ai vécu cela aussi (sauf le détail de la main au fesses !!!) et je suis moins virulante que toi je n'ai jamais embroché personne avec mon parasol mais je me suis aussi laissée aller à quelques noms d'oiseaux !!! Pour finir comme toi en faisant la planche au calme... Pour ça maintenant que mes enfants sont grands : Hors saison !!!!!
    J'ai adoré cette petite "tranche de Vie" vraiment !!!!!
    Bisous --- ciaO

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  3. Oup'sss : "aux" fesses la main !!!!!!!!
    c'est ça les "com" en live, tant pis si il y en a d'autres... ciaO

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  4. C'est encore moi (pf.fffff) J'ai oublié de te dire : les illustrations de Myriam Feuilloley, tu ne pouvais pas trouver mieux !!! Trop bien --- voilà je file et laisse la place aux autres --- bisous --- ciaO

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  5. Il y a bien logtemps que je ne vais plus à la plage Les bains de foule et moi..;; bonne soirée Marie amitiés Yves

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  6. je me souvien de vacances chez un copain de l'extrême nord (lunel). nous étions sur la plage de carnon (là où les icebergs viennent mourir) et il y avait cette saloperie de vent que seule cette région inhospitalière connaît. le petit qui avait 7 où 8 ans avaient décidé de s'opposer aux éléments en huralant comme un fou: "arrêtez le vent, le sable ça pique." j'ai bien cru qu'une ,guerre nucléaire allait se déclencher ce jour là. on ne soupçonne pas les capacités destructrices des gamins.

    je cherche un texte de brassens, dès que je l'ai retrouvé je te l'envoie. il accompagnerait à merveille ce très beau texte. marie, je pense qu'un jour tu devrais t'accrocher et écrire un texte bien plus long et qui s'appelle un livre. bizoos.

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  7. Les plages désertes oui...pour marcher, marcher....mais j'adore ton article...encore une fois bravo !

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  8. ça y est marie, j'ai retrouvé ce très beau texte de tonton georges.(un gars du nord)
    j'espère qu'il va passer en entier.sinon tu viendras le voir chez moi.


    Les châteaux de sable

    Je chante la petite guerre
    Des braves enfants de naguère
    Qui sur la plage ont bataillé
    Pour sauver un château de sable
    Et ses remparts infranchissables
    Qu'une vague allait balayer.
    J'en étais : l'arme à la bretelle,
    Retranchés dans la citadelle,
    De pied ferme nous attendions
    Une cohorte sarrasine
    Partie de la côte voisine
    A l'assaut de notre bastion.
    A cent pas de là sur la dune,
    En attendant que la fortune
    Des armes sourie aux vainqueurs,
    Languissant d'être courtisées
    Nos promises, nos fiancées
    Préparaient doucement leur coeur.
    Tout à coup l'Armada sauvage
    Déferla sur notre rivage
    Avec ses lances, ses pavois,
    Pour commettre force rapines,
    Et même enlever nos Sabines
    Plus belles que les leurs, ma foi.
    La mêlée fut digne d'Homère,
    Et la défaite bien amère
    A l'ennemi pourtant nombreux,
    Qu'on battit à plate couture,
    Qui partit en déconfiture
    En déroute, en sauve-qui-peut.
    Oui, cette horde de barbares
    Que notre fureur désempare
    Fit retraite avec ses vaisseaux,
    En n'emportant pour tous trophées,
    Moins que rien, deux balles crevées,
    Trois raquettes, quatre cerceaux.
    Après la victoire fameuse
    En chantant l'air de "Sambre et Meuse"
    Et de la "Marseillaise", ô gué,
    On courut vers la récompense
    Que le joli sexe dispense
    Aux petits héros fatigués.
    Tandis que tout bas à l'oreille
    De nos Fanny, de nos Mireille,
    On racontait notre saga,
    Qu'au doigt on leur passait la bague,
    Surgit une espèce de vague
    Que personne ne remarqua.
    Au demeurant ce n'était qu'une
    Vague sans amplitude aucune,
    Une vaguelette égarée,
    Mais en atteignant au rivage
    Elle causa plus de ravages,
    De dégâts qu'un raz-de-marée.
    Expéditive, la traîtresse
    Investit notre forteresse,
    La renversant, la détruisant.
    Adieu donjon, tours et courtines,
    Que quatre gouttes anodines
    Avaient effacés en passant.
    A quelque temps de là nous sommes
    Allés mener parmi les hommes
    D'autres barouds plus décevants,
    Allés mener d'autres campagnes,
    Où les châteaux sont plus d'Espagne,
    Et de sable qu'auparavant.
    Quand je vois lutter sur la plage
    Des soldats à la fleur de l'âge,
    Je ne les décourage pas,
    Quoique je sache, ayant naguère
    Livré moi-même cette guerre,
    L'issue fatale du combat.
    Je sais que malgré leur défense,
    Leur histoire est perdue d'avance,
    Mais je les laisse batailler,
    Pour sauver un château de sable
    Et ses remparts infranchissables,
    Qu'une vague va balayer.

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  9. De bien belles déclinaisons sur le thème de la plage.

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  10. Bonsoir Marie chère. C'est vrai un fantasme réalisé n'est plus un fantasme... L'océan je l'aime, mais faire l'escalope sur le sable, me faire cuire d'un côté puis de l'autre, pas trop !!! Tu sais, "chez nous" les estivants on les apprécie car c'est bon pour notre économie locale, mais lorsqu'ils partent on pense "ouf" car enfin on respire !!! Je n'ai pas lu tout ton article. Je me mets trop souvent sur le net très tard et du coup mes yeux sont brouillés... Tes vacances approchent, fais-moi un petit coucou avant ton départ please ! Bisous forts forts Marie chère

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  11. petits bisous du jour !!! Je regardais les baigneuses de Myriam feuilloley tjrs avec le sourire au lèvres et je me disais que celles avec le maillot rayé et à pois verts me faisait penser à moi (quoique mes cheveux commencent à repousser...)tu vois j'ai plutôt une tête sympa !!!!!!!!!!bisous --- ciaO

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  12. Comme toujours le texte est riche, puissant et les illustrations exceptionnelles. Un beau travail et une recherche "d'enfer". Que te dire ? qu'il est toujours plaisant, intéressant de venir sur ton blog. bien amicalement. AD-Mary44

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  13. MEUH... meuh... Bises muflesques (-;

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  14. Pour une je suis surpris par un tableau de Picasso... bonne journée Marie amitiés Yves

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  15. Je passe faire mon p'tit cliq journalier de votante !!!!
    j'éspère que tout va bien pour Toi.
    En attendant de tes nouvelles : big bisous --- ciaO

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  16. je n'arrive pas à venir sur ton blog, sans passer par anonyme. DOMMAGE !!! bien amicalement AD-Mary44 - aujourd'hui, un article sur le grand amour de RAPHAEL !!

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  17. GR GR J'ai réussi à planquer la libellule avec que Crapaud-charmant ne l'avale ! Merci... Bises OGRESques !

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  18. Chaque fois je découvre un nouveau tableau..; bonne soirée Marie amitiés ..où es tu ? ;;;

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  19. Ta visite m'a rassurée... C'est qu'avec cette amitié virtuelle on finirait par s'inquièter quand on a pas de nouvelle : normal bien que virtuelle, cette Amitié est tout de même sincère !!!!!!
    Bien contente que tu me trouve une bouille sympa, même mes soeurs ont dit que cette illustration me ressemblait : enfin pour l'instant j'éspère d'ici quelques temps (je n'ose pas dire années !!!) je retrouverai mon aspect originel c-a-d comme sur la photo de mon blog !!!!
    Cette image m'a inspiré quelques mots comme ça
    sur le vif que j'ai écrit sur mon blog instinctivement !!!
    Je reviendrai te lire en éspèrant qu'avant de partir en vacances tu auras le courage de nous publier un p'tit truc dont toi seule tu as le secret !!!!!!!!!
    Gros bisous mon Aminet --- ciaO

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  20. J'ai bien souri en lisant ton article. C'est tellement vrai !!! Un bonheur de lecture.

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  21. Petit coucou à Toi mon AmiNet... Je te contacte bientôt promis. (Là, suis en plein dans les préparatifs pour les 20 ans de ma deuxième !!!)bisous --- ciaO

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  22. Je ne t'oublie pas, mais peu présente en ce moment.....très gros bisou

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